Selon les résultats communiqués le 11 juillet 2020, la cause de la mort des neuf randonneurs est une avalanche combinée à une mauvaise visibilité. La vision des sphères orange dans le ciel, la radioactivité, le refus des autorités de partager les résultats de leur enquête et la couleur extrêmement bronzée des corps retrouvés peut laisser entendre que le groupe se serait retrouvé accidentellement dans une zone de tests militaires. Quatre victimes retrouvées tardivement ont fait l'objet d'une expertise physico-technique qui a révélé que les habits de deux d'entre elles présentaient des niveaux élevés de radiation dus, selon l'expert de l'époque, à de la « poussière radioactive tombée de l'atmosphère » ou à la « manipulation de substances radioactives » sur leur lieu de travail[6],[a]. Pris de panique, ils se seraient alors mis en quête d’un abri temporaire au niveau de la limite des arbres, à plus d’un kilomètre de là, après avoir descendu la pente. Trois semaines plus tard, les secours découvrent leur tente découpée de l'intérieur. Ils ont tout fait correctement […]. Se rendant compte de leur erreur, ils décident de s'arrêter et de camper sur le flanc de la montagne. Un jeu vidéo, intitulé Kholat et s'inspirant de cette affaire, sort le 10 juin 2015. « C’est passionnant de voir qu’il est possible de faire la lumière sur ces puzzles historiques grâce aux progrès scientifiques Â». Puzrin a grandi en Russie, mais a entendu parler de l’affaire du col Dyatlov il y a seulement 10 ans. Le jour suivant, l'un des membres du groupe, Iouri Ioudine, doit renoncer à continuer l'expédition pour cause de maladie[3]. Le reste de la troupe, menée par Igor Dyatlov, étudiant en ingénierie de 23 ans, poursuivit sa route. « Cela salit leur mémoire Â», déclare Alexander Puzrin, dont l’étude révèle que même des alpinistes chevronnés auraient pu être surpris par cette étrange avalanche. Un des pieds de Doubinina était enveloppé dans un morceau de laine provenant du pantalon de Krivonichtchenko (retrouvé auprès du pin), tandis que Zolotariov portait le manteau en fausse fourrure et le chapeau de Doubinina[10],[3]. 62 ans presque jour pour jour après la tragédie du col Dyatlov, dans les montagnes de l’Oural russe, qui avait vu périr neuf randonneurs, deux chercheurs confirment qu’une avalanche a pu les emporter avant qu’ils ne meurent d’hypothermie. Les membres de l'autre groupe seraient tombés dans la ravine, rendue invisible par l'obscurité, avant de succomber des suites de leur chute ou du froid, pris au piège. D'autres portent des morceaux de vêtements qui paraissent avoir été découpés dans les habits de ceux qui étaient déjà morts. et trouve absurde qu'il soit classé au motif d'« absence dans les actions attribuées à l'inculpé d'éléments constitutifs d'une infraction », vu qu'il n'y a jamais eu aucun inculpé dans cette affaire[27],[17]. Les pages des rapports d'enquête (dans la forme de photocopies et transcriptions) sont également graduellement mises en ligne sur un forum web[43]. Il fallait trouver une cause à cette catastrophe du Col Dyatlov. Selon lui, les simulations de l’équipe ont reconstitué cette nuit meurtrière avec une grande fidélité. Le corps de Zolotariov est exhumé en 2019 pour une expertise ADN à la demande de sa famille. Devenue l’Affaire Dyatlov ! L'enquête conclut rapidement qu'il n'y a pas de trace d'agression par une autre personne, et considère l'affaire classée[10]. Le 31 janvier, le groupe atteint une région de hautes terres et commence à se préparer pour la montée. Le groupe compte donc désormais neuf personnes. Les modèles informatiques des chercheurs ont démontré qu’un bloc de neige lourde mesurant presque cinq mètres de long pouvait, dans cette situation, facilement briser les côtes et le crâne d’individus dormant dans un lit rigide. Des enquêteurs soviétiques examinent la tente appartenant à l’équipe d'Igor Dyatlov le 26 février 1959. Selon la position de leurs corps, il semblerait qu'ils tentaient de regagner le camp au moment de leur mort[3],[10]. ex., meurtre, accident, etc.) Прямой эфир от 26.03.19, Перевал Дятлова: новые сенсационные факты, Эксперт: «Группу Дятлова подвергли пыткам!». La fille d'Ivanov, interrogée par des médias dans les années 2010, soutient néanmoins que son père (décédé en 1997) était « réaliste », « ne lisait pas de fantastique », « ne croyait pas aux ovnis » et qu'il a écrit cet article sûrement pour attirer l'attention sur l'affaire qu'on l'avait forcé à classer, en jouant sur le thème des ovnis, en vogue dans les années 1990. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Конец истории. Ce curieux décalage temporel intrigua Alexander Puzrin, ingénieur en géotechnique à l’ETH Zürich, l’un des instituts fédéraux suisses de technologie. Une première enquête commence immédiatement après la découverte des cinq premiers corps. Le 31 janvier 2019, le Parquet général de Russie annonce la réouverture de l'enquête avec l'étude de trois hypothèses, toutes liées à des phénomènes météorologiques, sur les 75 existantes, précisant que la thèse du crime meurtrier reste peu probable en raison de l'absence totale de preuve et que celle d'une avalanche ou d'un ouragan est privilégiée. Il aurait comme eux, tenté de retourner au camp[10]. Un groupe qui se promenait dans le Col de Dyatlov en Russie (Oural) en début d'année a découvert le corps d'un homme mort d'une cinquantaine d'années. En 1963, des étudiants de l'Institut polytechnique de l'Oural ont installé sur les lieux du drame une plaque commémorative avec les noms des victimes et l'inscription : « Ils étaient 9. Projet Aliens Résistance - Rassemble des documentaires, documents textes, images et photo's pour le partage de personnes qui veulent s'informer sur les sujets OVNIs au Phénomènes en tout genre. Enfin, si une avalanche avait bien eu lieu, pourquoi, selon les données médico-légales, neuf heures la séparaient-elles du moment où l’équipe avait déblayé la pente pour y installer son camp ? Ils suivent des empreintes de pas qui mènent à un bois proche de l'autre côté du col, à 1,5 km au nord-est, mais après 500 mètres, les traces sont couvertes par la neige. Elle eut lieu sur le versant est du mont Kholat Syakhl (Холат Сяхл, nom mansi signifiant « montagne des morts »). Avec l'aide de l'équipe de tournage, un écrivain de Iekaterinbourg, Anna Matveïeva, publie la nouvelle fiction/documentaire du même nom[3]. Une équipe de recherche fut dépêchée dans la Kholat Saykhl quelques semaines plus tard. On y voit les membres du groupe déblayer la neige d’une pente pour y monter leur tente. Прямой эфир от 15.03.19, Новые версии гибели группы Дятлова. Gouchtchine résume ce qu'il trouve dans son livre Le prix des secrets d'État est neuf vies (Цена гостайны — девять жизней)[4]. Ce phénomène aurait ainsi augmenté la charge exercée sur la pente fragile et explique les neuf heures écoulées entre le déblayage de la neige et l’avalanche. En 1967, l'écrivain et journaliste Iouri Iarovoï, de Sverdlovsk, publie un roman inspiré de l'affaire, De la plus grande complexité (Высшей категории трудности)[41]. Le doute plane sur ce qu'entendaient les enquêteurs par une force « spontanée » et « irrésistible ». En réalité, elle avoisinait les 30°, soit le minimum requis pour de nombreuses avalanches. COVID-19 : pourquoi et à quelle vitesse les virus mutent-ils ? En février 1959, en pleine Guerre froide, Igor Dyatlov, un étudiant en ingénierie de 23 ans, mène un groupe de dix skieurs, lui compris, pour une “balade” de dix kilomètres. La question est close. Le corps de Zolotariov n'étant pas identifiable avec certitude, certaines théories supposent qu'il est responsable du massacre, aurait simulé sa mort et fui avec une nouvelle identité. Le 26 février, l'équipe de secours trouve le camp abandonné sur le mont Kholat Syakhl[10]. L'analyse ADN montre que le corps exhumé n'aurait cependant aucun lien de parenté avec sa nièce, la fille de la sœur de Semion Zolotariov[9]. L'examen des quatre corps trouvés en mai change la donne. Krivonichtchenko a des brûlures à la jambe et une morsure à la main qu'il s'est faite lui-même (la peau ainsi arrachée lui est restée dans la bouche). Depuis la mort de Iarovoï en 1980, toutes ses archives, y compris ses photographies, journaux et manuscrits, sont introuvables. Kourotchkine qualifie l'affaire Dyatlov d'« un mystère couvert de ténèbres car sont impliqués des organismes et des personnes haut placés »[1]. Il écrit le livre pendant la période soviétique, quand les détails de l'accident sont maintenus secrets et il évite de révéler ce qui n'est pas dans l'explication officielle ou déjà bien connu. Les documents sont envoyés à un fonds d'archives secret et des photocopies ne sont rendues publiques que dans les années 1990, mais certaines parties manquent[2]. « Ils ne veulent pas que ce soit une avalanche. Une autre histoire des plus mystérieuses et effrayantes!J'espère que vous aimerez ! Slobodine présente une petite fêlure sur le crâne qui n'est probablement pas une blessure mortelle[10]. Le 28 janvier 2021 deux chercheurs de l'EPFL et de l'ETH Zurich publient un article[38] dans la revue Communications Earth and Environnment [39]où ils proposent, grâce à des modèles analytiques et des simulations informatiques, une explication : des vents catabatiques auraient accumulé assez de neige au-dessus du camp pour provoquer une petite avalanche de la taille d'un SUV qui serait tombé juste sur la tente des campeurs. Les médecins déterminent que les … Ourakov a également exigé qu'Okichev et ses collègues soutiennent devant l'opinion publique la thèse de l'accident, ce qu'ils ont fait. En 1990, il publie un article[42], et affirme que l'équipe d'enquêteurs n'avait aucune explication rationnelle pour l'accident. Le Dr Boris Vozrojdenny, chargé des autopsies, affirme que les traumatismes sont trop graves pour être causés par des humains, comparant la gravité des blessures avec les résultats d'un accident de voiture[10] et le passage d'une onde de choc[12]. Les quatre victimes sont mortes de façon très violente et les corps sont en mauvais état : Doubinina a dix côtes brisées, sa langue et ses yeux ont disparu, Semion Zolotariov a cinq côtes cassées et ses yeux sont absents de leurs orbites, Nikolaï Thibeaux-Brignolles a le crâne fracturé[10]. Les journaux et appareils photo trouvés sur leur dernier camp permettent de retracer leur itinéraire dans les jours précédant le drame. Les corps des neuf membres de l’expédition furent retrouvés tout autour de la pente montagneuse. En février 1959, neuf étudiants (sept garçons et deux filles) de l’Institut polytechnique de l’Oural entreprennent une longue excursion dans les montagnes particulièrement inhospitalières de la région. Certains des crânes et des coffres des morts avaient été fêlés ou écrasés. Mais il y a une deuxième raison pour laquelle le groupe a été condamné. Cela a son importance, en partie parce que cette mystérieuse tragédie reste douloureuse pour les proches des victimes. L'enquête est officiellement close en mai 1959 en raison de l'« absence dans les actions attribuées à l'inculpé d'éléments constitutifs d'une infraction »[17]. « Nous adorons inventer des scénarios invraisemblables en cas de mort dans la nature, car nous ne sommes jamais sûrs et certains de ce qu’il s’est passé Â». Les journalistes parlant des parties de l'enquête qui ont été rendues publiques révèlent que : Les enquêteurs arrivent à la conclusion que les membres du groupe sont tous morts d'« une force irrésistible » inconnue : « Compte tenu de l'absence de blessures externes et de signes de lutte sur les cadavres, de la présence de toutes les valeurs du groupe, et en tenant compte des conclusions de l'expertise médico-légale concernant les causes de la mort des touristes, il convient de considérer que la cause du décès des touristes fut une force spontanée à laquelle les touristes n'étaient pas à même de résister »[16]. Les adversaires des théories du complot font remarquer que si l'État avait quelque chose à cacher, il aurait commencé par les corps des touristes et aurait fait disparaître sans traces tout indice sur place[5]. Les blessures, bien que graves, ne se seraient pas immédiatement avérées mortelles pour les victimes, précise Alexander Puzrin. Selle, où le col de Dyatlov, est un pont entre Holat-Sjahyl et le pic non identifié dans les 905 mètres. Iarovoï est impliqué dans les recherches pour le groupe de Dyatlov et dans l'enquête en tant que photographe officiel dès le début de l'enquête et connaissait donc bien l'affaire. Entre l'arbre et le camp abandonné, ils trouvent deux autres corps : ceux de Dyatlov et Kolmogorova. À tel point qu’il demanda aux animateurs quel était leur secret. Les quatre dernières victimes, avec à leur tête Zolotariov, décident de creuser dans la vallée d'un ruisseau un abri jonché de branches d'arbres, ce qui provoque une nouvelle avalanche qui les bouscule dans un ravin et les ensevelit sous une couche de neige de 2,5-4 mètres de hauteur[7],[37]. Théories principales après la première enquête, « parce que la force des coups était trop grande et les parties charnues n'ont pas été endommagées », L'enquête de 2019 a déterminé que ces radiations provenaient le plus probablement de l'« Empreinte radioactive de l'Oural oriental » apparue à la suite de l', « Jordy Hendrikx, directeur du Snow and Avalanche Lab de l’université d’État du Montana, n’a pas pris part à l’étude, mais soupçonnait depuis longtemps qu’une avalanche était la cause la plus plausible de l’incident survenu dans le col Dyatlov. Il n'y a pas eu de panique. Quand ils se sont retournés, ils n'ont pas vu la tente. Le but de la fondation est de convaincre l'administration russe de rouvrir l'enquête sur l'affaire et d'entretenir la mémoire des randonneurs morts sur la montagne. Par conséquent, lorsque l’avalanche les frappa dans leur sommeil, celle-ci heurta une cible exceptionnellement rigide. Depuis 62 ans, un mystère alpin alimente de nombreuses théories du complot. Le 5 mars, le corps de Slobodine est retrouvé à l'endroit même où se trouvaient Dyatlov et Kolmogorova, entre le camp abandonné et 480 mètres au dessus du pin. Au moment des faits, la température était très basse (environ −25 °C à −30 °C) et une tempête sévissait, mais les morts ne sont que partiellement habillés. Malgré l'absence de message à cette date, il n'y eut aucune réaction parce qu'un délai de quelques jours était courant pour ce type d'expédition[10]. Savoir que la Kholat Saykhl était un terrain propice aux avalanches n’était cependant pas évident. L'enquête menée par les autorités soviétiques détermina uniquement qu'« une force irrésistible » inconnue avait causé la mort des randonneurs. La découverte fût effectuée près du lieu de la mystérieuse disparition de 9 personnes en 1959. Celle-ci deviendra par la suite connue sous le nom de l’affaire du col Dyatlov. Cette fois, ils se tournèrent vers le secteur automobile pour obtenir les informations qu’ils recherchaient. Выпуск от 01.07.2019, Перевал Дятлова: Новые факты. Selon lui, le bloc de neige devait être incroyablement dur et se déplacer à une certaine vitesse. La tente est gravement endommagée, elle a été découpée à partir de l'intérieur[3],[10]. Dans la nuit du 1 er au 2 février 1959, neuf skieurs/randonneurs, conduits par un certain Igor Selon le chercheur, les membres de l’équipe de Dyatlov étaient des personnes très compétentes qui n’auraient jamais pu imaginer que déblayer la neige pour installer leur tente sur ce qui semblait être une pente faiblement inclinée présentait un danger.
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